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Thérapie et Méditation Empty Thérapie et Méditation

Lun 25 Aoû 2008 - 2:20
Thérapie et méditation : réflexions


Thérapie et Méditation Chakra10



En thérapie, apprendre la relaxation voire la méditation pour arriver à Se connaitre et se soigner…

Dans l’approche thérapeutique que je pratique, je travaille avec la relaxation profonde guidée. Mon but est de permettre à la personne de se détendre et d’acquérir progressivement les outils pour travailler de façon autonome jusqu’à la méditation si elle le souhaite.

La relaxation profonde peut-être utilisée dans bien des domaines : dans le domaine scolaire pour apprendre à mieux gérer son stress durant les examens par exemple, dans le domaine professionnel pour visualiser des objectifs, les dégager, créer des stratégies de réussite… pour se préparer à un entretien difficile… dans le domaine de la vie privée, pour aider à résoudre des problèmes de couple etc.….


Je pense que le thérapeute ne peut pas entrer dans l’inconscient impunément… il est préférable de travailler ce qui émerge car si cela émerge c’est que les énergies sont là pour la transformation… de plus pour véritablement guérir, la personne doit pouvoir accéder au supra conscient (moi supérieur)

Comment accéder à ce supra conscient ?? En approfondissant la relaxation jusqu’à la méditation. Cela peut passer par un apprentissage progressif… lié à la motivation et à la pratique.

Le thérapeute est un facilitateur… il crée les conditions pour que la personne puisse faire le travail…

Il y a l’inconscient, le conscient, le soi conscient et le supra conscient… en recherchant à entrer en contact avec le supra conscient, le processus de guérison véritable s’enclenche.

Le but de la méditation est la fusion du moi supérieur et du moi inférieur, de l’Individualité et de la personnalité.
Le moi Supérieur est à l’intérieur mais loin, il y a comme une distance, il n’est pas encore entré dans toutes nos cellules…
Qu’on l’appelle Esprit, Christ, Bien Aimé, Ame, qu’importe, le véritable « travail » pour être efficace doit passer par le Moi supérieur… il faut monter ou descendre en Soi suffisamment pour provoquer cette connexion… Moi sup Connect…sans cela pas de résultat…

La vérité est à la fois subjective et objective…

Si je prends une grande bulle et que je place une personne dedans et une autre dehors et que je demande comment est la bulle, la première dira que la bulle est concave et c’est vrai pour elle (c’est 50 pourcent de la vérité) et si je demande à l’autre comment est la bulle, elle dira que la bulle est convexe et ce sera vrai aussi pour elle (mais 50 pourcent de la vérité)… la vérité à 100 pourcent est concave ET convexe… Les orientalistes favorisent l’intériorité, les occidentaux l’extériorité…chaque orientation a apporté des résultats… être centré sur l’extériorité, la matérialité a permis le développement de techniques fabuleuses, le développement industriel, certains progrès…mais au détriment d’une certaine éthique ; être centré sur l’intériorité a développé une richesse spirituelle fabuleuse mais au détriment d’un certain progrès économique….

La vérité est probablement de nouveau dans l’intériorité ET l’extériorité…

Jésus disait « Mon père et moi nous sommes un », et aussi « Mon père travaille et moi je travaille avec lui »… le sens profond pourrait être compris ainsi… dans cette fusion des deux mois, des deux principes aussi, dans cette fusion de l’Esprit avec les cellules du corps physiques….

Donc chercher cette fusion de l’esprit et du corps…c'est le sceau de Salomon, le Ying et le yang c’est la même quête… c'est le cercle du serpent dont la tête rejoint la queue et la mange (le serpent c'est nous, la tête, le moi supérieur; la queue, le moi inférieur)...la véritable santé permanente passe par cette réalisation.

Josiane Soleilamethyste
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Lun 25 Aoû 2008 - 2:24
Tout se rejoint quelque part bien sûr...néanmoins la plupart des approches psychologiques travaillent sur la dimension personnelle, l'égo...ce qui n'est pas toujours forcemment inutile...une thérapie de soutien , de rééquilibrage de la personnalité peut devenir un tremplin vers autre chose de plus large. Un égo sain pourra servir davantage le "soi divin" en se TRANSFORMANT.
Certains courants en psychologie ont déjà plus d'ouverture comme les courants humanistes dont l'analyse transactionnelle fait partie; le courant transpersonnel s'ouvre davantage à la spiritualité...
tout dépend aussi de la personne du thérapeute lui-même...
quel que soit son orientation...
L'ouverture aux dimensions spirituelles m'apparait plus aller dans le sens d'une guérison en profondeur.
Le corps influence l'état d'esprit et inversemment. La psycho-somatique ouvre aussi la médecine plus classique à d'autres dimensions.
La Belgique est particulièrement ouverte et réceptive à certains endroits.
A l'Université de Liège, certaines opérations chirugicales se font sous hypnose ériksonnienne...et notre système de mutuelle rembourse les frais d'ostéopathie par exemple...
De ce que j'en sais, l'analyse transactionnelle est une forme d'analyse qui vise l'amélioration à la fois de la connaissance de soi, de notre mieux-être et de nos compétences relationnelles dans tous les domaines en travaillant notamment sur les "états du moi" et la communication.

Salutations lumineuses et belle journée de paix.

Thérapie et Méditation Bourge10

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Thérapie et Méditation Empty AIMER LA MEDITATION RENFORCE LE LIEN AVEC LE DIVIN ET PERMET SON EXPRESSION EN NOUS.

Dim 28 Sep 2008 - 15:34
AIMER LA MEDITATION: la merveilleuse gratuité de la vie peut transformer notre passé, améliorer notre présent et construire notre avenir.
(ce que j'ai compris de la méditation)


Thérapie et Méditation Aigle_10



La force est dans l'expression du Divin en nous.
A quoi sert la méditation?
Elle renforce le lien avec mon Moi Supérieur.
La véritable religion renforce l'homme à tous points de vue.
La méditation c'est projeter sa pensée très haut pour aller chercher le meilleur et le faire descendre dans le corps physique, pour que le Divin se manifeste en moi et pas que l'humain, pour laisser s'exprimer le Divin en moi.




Thérapie et Méditation Amourg10


Chaque fois que nous méditons, nous harmonisons l'humain en nous au Divin en nous.
Ce n'est pas une rêverie ou une réflexion.
La méditation est une activité de la volonté et du mental pour créer dans la matière avec le divin.





L'être humain a été créé pour se manifester dans les deux plans, le plan matériel et le plan intérieur, subjectif et spirituel.
S'il ne manifeste que le plan humain, il dépérit, il s'affaiblit.
La façon de méditer compte aussi.
Faire cela par obligation ou comme un automatisme ne marche pas.
La Joie participe à la connexion avec notre Moi Supérieur.
Notre Moi Supérieur est la Partie Divine en nous qui sait tout, voit tout etc.
Se reconnecter avec son Moi Supérieur c'est laisser le Divin s'exprimer à travers nous.



Thérapie et Méditation Ange210

En goutant la Joie de la méditation, petit à petit, je reconstruis mon corps, ma santé, l'harmonie en moi etc... ce qui est une Joie...qui me remotive à méditer etc.

Une pratique assidue et persévérante est nécessaire pour arriver à un résultat. Ce n'est pas en une fois que je peux commencer à ressentir les effets positifs de la méditation.

L'être humain est ainsi fait qu'il évolue avec des hauts et des bas jusqu'à ce qu'il sente par lui même qu'il peut faire un travail efficace sur lui même et qu'il devienne stable et pouvant rayonner la lumière, émaner l'amour et donner la vie sans être perturbé par les autres, sans plus donner aux autres le pouvoir de perdre sa lumière.

La méditation devient une joie quasi permanente lorsque le lien a été rétabli avec notre Moi Supérieur et que la partie divine peut s'exprimer en nous.



Thérapie et Méditation Joie10


Dernière édition par Admin le Mer 1 Oct 2008 - 6:45, édité 1 fois
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Dim 28 Sep 2008 - 19:43
merci SoleilAmethyste

je trouve que tu expliques très bien.

doucenuit
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Mar 30 Sep 2008 - 8:21
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Mer 1 Oct 2008 - 6:49
AIMER LA MEDITATION:


la merveilleuse gratuité de la vie peut transformer notre passé, améliorer notre présent et construire notre avenir.



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Thérapie et Méditation Fusion10
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Sam 29 Nov 2008 - 7:40
[center]
La méditation peut soigner la dépression
Par Sylvain Michelet






Ce n’est pas seulement sur le terrain de la recherche, en passant des « méditants » au scanner pour étudier les zones actives de leur cerveau que la médecine occidentale s’ouvre à la pensée bouddhiste. En thérapie aussi les liens se tissent. Le plus souvent sous forme d’emprunts, comme l’a montré au printemps 2006, à Montpellier, le Forum International Bouddhisme et Médecine, consacré à la dépression.


Convenons-en : si les rapports entre bouddhisme et médecine occidentale éveillent la curiosité, la dépression, elle, n’est pas un sujet vraiment folichon. Annonciateur de tempête, le mot lui-même évoque l’effondrement. On voit s’ouvrir un gouffre, fait de nuits agitées et de réveils sans envie, d’idées noires face auxquelles on ne peut réagir, et finalement, au « fond du trou », une hébétude proche de l’abrutissement. La dépression fait peur.

À juste titre, si l’on s’en tient aux chiffres. Selon l’OMS, 5 % des personnes habitant les pays « développés » en souffrent aujourd’hui, et 17 % - une sur six - en subiront au moins une au cours de leur vie. Pire encore, ne cessant de progresser, elle devrait constituer en 2020 la deuxième cause d’invalidité après les cardiopathies, alors qu’elle occupe la quatrième place aujourd’hui. De nombreuses autres statistiques pourraient noircir le tableau, surtout venant de France où 17,3 % des hommes et 31,3 % des femmes avaient acheté en 2000 au moins une boîte de médicaments psychotropes (somnifères, anxiolytiques, antidépresseurs), un record mondial qui se maintient année après année, tandis que le taux de suicide approche des sommets.

Le trou noir de la dépression
Attention, on ne parle pas ici de déprime, mais de dépression véritable, ou "épisode dépressif majeur" dans le jargon des spécialistes (voir encadré). Et s’il est une affection qu’on peut qualifier d’« holistique », la voici. « La dépression n’est pas une maladie mentale, rappelle le docteur Pierre Philippot, professeur de psychologie à l’université de Louvain (Belgique), c’est un syndrome qui touche l’être dans son intégralité. » On souffre affectivement, déjà, bien plus que dans une simple déprime : on se sent triste, vide, incompétent ou même désespéré, on manque d’enthousiasme, on perd tout intérêt pour ce qui passionnait auparavant. A ces symptômes viennent s’ajouter des troubles dits « cognitifs » (perte d’attention et de mémoire, incapacité à se concentrer), mais aussi comportementaux (apathie) et physiques (perte ou gain de poids, augmentation du sommeil).

Un épisode dépressif majeur se soigne relativement facilement. Grâce aux médicaments, bien sûr, même s’il faut compter avec les effets secondaires des antidépresseurs, et prévenir contre l’usage des anxiolytiques, contre-indiqués mais souvent prescrits car présentant moins de risques, vu leur action plus rapide. Les psychothérapies donnent également de bons résultats, principalement la psychologie cognitive, peut-être parce qu’elle se pose les bonnes questions : à quoi, et comment, pensent les dépressifs ?

La nouvelle explication cognitiviste
En effet, dès sa création par le neurologue américain Aaron Beck, la psychologie cognitive - qui s’occupe de la façon dont les gens apprennent et savent - a estimé que la dépression résultait d’une manière biaisée de penser. Cette « distorsion cognitive » est, évidemment, influencée par des croyances ou des opinions résultant d’expériences, souvent vécues dès l’enfance. Une mise en compétition permanente avec un frère ou une sœur, par exemple, nous apprendra que nous ne méritons pas d’être aimé si nous ne sommes pas le meilleur. Comme il est impossible d’être le meilleur en tout, il en résultera un apprentissage de l’évitement des situations, un cercle vicieux qui convainc rapidement qu’on est nul.

« La nouveauté dans la compréhension de la dépression, explique Pierre Philippot, le psychologue de Louvain, ce sont les études qui ont montré que certaines manières de réfléchir sur les expériences personnelles pouvaient précipiter ou maintenir des états émotionnels négatifs, principalement la dépression. C’est notamment le cas de ce qu’on appelle la « rumination mentale », cette manière analytique et abstraite de se poser sans cesse des questions sur le pourquoi de son état, d’essayer d’en comprendre les causes et de penser et repenser aux conséquences. « Mais pourquoi est-ce que je me sens si triste, et que va-t-il arriver si ça continue ? » Ce mode de fonctionnement mental est caractérisé par l’apparition et le maintien d’émotions négatives, car presque systématiquement les personnes ne trouvent pas de réponses satisfaisantes à leurs questions. »

Reste à savoir comment en changer. Face à un épisode dépressif majeur, la thérapie cognitive sait faire, et elle procède par petites touches. À chacune des pensées et émotions négatives que le patient rapporte - « j’ai raté ceci, ma vie est nulle, je ne mérite pas d’être aimé » -, le thérapeute propose d’appliquer une réflexion rationnelle, visant à faire la part entre les faits et les idées. On établit des listes. De séance en séance, le patient est invité à repérer les comportements et les situations qui lui assombrissent l’humeur, et des indications lui sont données sur la manière de les changer. Le plus souvent, au bout de quelques semaines ou de quelques mois, les résultats sont au rendez-vous et le patient repart content.

Le problème de la rechute
Mais comment éviter la rechute ? C’est en fait le problème principal, car si l’on parvient sans trop de difficulté à résorber un épisode majeur, il y a trop souvent récidive. Toutes thérapies confondues, 50 % des gens ayant souffert d’une dépression en subissent une autre dans les années qui suivent, et le taux passe à 70 % pour ceux qui en ont connu deux, et à 90 % après la troisième fois. Plus grave encore, ces rechutes ont besoin de moins en moins de raisons, d’événements pénibles ou stressants, pour se déclencher.

C’est autour de ce constat que se réunissent, dans les années 90, les professeurs et chercheurs Zindel Segal, Mark Williams et John Teasdale, trois docteurs en psychologie, responsables de divers programmes en thérapie cognitive, à Toronto, Oxford et Cambridge. La thérapie cognitive s’avère plus efficace que toutes les autres contre la dépression, mais elle souffre de nombreux défauts. Elle est individuelle et longue - donc coûteuse et souvent abandonnée - et elle réussit difficilement, elle aussi, à éviter la rechute, même si elle y parvient mieux que d’autres, avec son taux de récidive variant de 20 à 35 % selon les études, dans les 12 ou 24 mois suivant la fin des soins, contre 50 à 80 % après l’arrêt d’un antidépresseur. Chargés de mettre au point un programme de soutien à long terme, les trois universitaires décident de se concentrer non plus sur la nature des pensées et émotions des patients, mais sur la façon même dont ils réfléchissent. Autant dire qu’ils s’approchent de la pensée bouddhiste, pour laquelle le changement du regard porté sur soi-même et sur les événements est un but. Mais il leur faudra un détour, et la rencontre avec Jon Kabat-Zinn, qui l’a déjà accompli.

suite ci-dessous:


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Sam 29 Nov 2008 - 7:40
ceci est la suite du billet précédent

Pleine conscience et grain de raisin

En 1979, le docteur Jon Kabat-Zinn a ouvert la première « clinique de réduction du stress », à l’école de médecine de l’université du Massachusetts. Une clinique de réduction du stress au sein d’un CHU ! « J’avais les diplômes, dit-il pour expliquer comment un tel projet a pu être accepté. Comme j’étais titulaire d’un doctorat en biologie moléculaire obtenu au MIT auprès d’un lauréat du prix Nobel, ils se sont dit que je devais savoir ce que je faisais ! » Il n’a pourtant pas caché sa pratique du bouddhisme, du yoga, des arts martiaux. Et son programme est révolutionnaire, d’autant qu’il s’applique aux patients comme aux thérapeutes, appelés ici « instructeurs » : relaxation, respiration et visualisation, une batterie d’exercices puisés dans le yoga ou la méditation bouddhiste, mais sans référence à ces sources ni même à une quelconque philosophie. Résultat : la réussite sur toute la ligne. En plus du stress, le programme s’ouvre au traitement de l’anxiété, puis à celui de la douleur. Les études viennent confirmer les succès. Jon Kabat-Zinn - aujourd’hui directeur de plusieurs institutions, dont l’association qui organise les rencontres annuelles entre le Dalaï Lama et les scientifiques - en profite pour affiner les concepts, et notamment celui de « pleine conscience », au centre de sa démarche et directement inspiré du bouddhisme. La « pleine conscience », en anglais « mindfulness ». C’est en effet le cœur de l’affaire... mais qu’est-ce que ça veut dire, et comment y accéder ? La traduction est peu parlante, reconnaît Jon Kabat-Zinn, pour qui l’espagnol « presencia mental » ne convient guère mieux, seul l’italien « consapevolenza » trouvant grâce à ses yeux. Dans son livre, il explique : « La pleine conscience signifie être attentif d’une manière particulière : délibérément, dans le moment présent et sans jugement. » On aura compris qu’il s’agit d’un état de présence consciente à soi-même, mais que pour le connaître, il faut autre chose que des mots. Il suffit d’un seul exercice pour comprendre - c’est pour se soigner qu’il en faut beaucoup. Pour illustrer le concept, Jon Kabat-Zinn et ses émules proposent à leurs patients, en guise d’introduction au programme de réduction du stress par la pleine conscience, l’exercice du grain de raisin. Un raisin de Corinthe, qu’il doivent toucher, palper, humer et même écouter, puis sucer, mordre et enfin avaler, en concentrant toute leur attention sur leurs sensations successives.

Méditation versus dépression
De la découverte par les thérapeutes cognitifs de Jon Kabat-Zinn et de son concept naîtra la MBCT, ou « thérapie cognitive basée sur la pleine conscience », appliquée au traitement de la rechute dépressive. La MBCT ne diffère guère de la thérapie contre le stress de Jon Kabat-Zinn. Dans son déroulement, en tout cas. Les patients, dépressifs risquant la rechute ou désirant arrêter les antidépresseurs, sont réunis en groupe d’une vingtaine, deux heures par semaine pendant huit semaines. Ils doivent de plus s’engager à pratiquer individuellement chaque jour, pendant une heure, guidés par des enregistrements audio. Chacune des séances collectives a un but précis. La première, par exemple, permet d’identifier et de commencer à contrôler le « pilote automatique », ce fonctionnement autonome du mental qui, distrayant de la réalité du moment, conduit si facilement à la rumination. Au programme des séances suivantes : « gérer les obstacles » (notamment ceux qui donnent au débutant le sentiment qu’il ne « réussit » pas les exercices), « conscience de la respiration », « rester présent », « permettre/lâcher prise », « les pensées ne sont pas des faits », « comment prendre soin de moi au mieux », et « utiliser ce qui a été appris pour gérer les humeurs futures ». Autant d’étapes progressives d’un chemin vers la sérénité, sinon la sagesse !

Les exercices sont également, sans le dire et via Jon Kabat-Zinn, inspirés du yoga et du bouddhisme. En séances ou à domicile, les patients apprennent le « body scan » (ou balayage progressif, par la conscience, de toutes les parties du corps), le contrôle de la respiration, la marche consciente, l’attention lors d’activités routinières telles que laver la vaisselle, se laver les dents ou manger... « Le message principal est : soyez conscients, laissez aller, écrivent Zindell, Williams et Teasdale. Car ce sont les tentatives continuelles d’échapper ou d’éviter le malheur, ou d’atteindre le bonheur, qui font tourner les cycles négatifs. Le but du programme est la liberté, pas le bonheur. » Bref, au lieu de ruminer sur le pourquoi et le comment, on apprend à laisser défiler ses pensées, émotions et sensations, comme des nuages dans le ciel, avec une acceptation bienveillante. Et ça marche ! Menées sur plusieurs années, les études ont montré une diminution de moitié des rechutes. A une seule condition : le thérapeute doit devenir instructeur et pour cela, doit lui-même pratiquer. Pas forcément le bouddhisme, d’ailleurs : « J’ai ma propre pratique méditative, que je qualifierais de laïque car elle n’est liée à aucune métaphysique ou spiritualité », déclare Pierre Philippot, qui a introduit la MBCT en francophonie.

Du bouddhisme sans le bouddhisme ?
Il n’est en effet jamais question du bouddhisme lors d’une MBCT. Cependant, la concordance est parfaite entre la recherche clinique, qui fait de la rumination mentale le mécanisme majeur de la dépression, et la seconde Noble Vérité du bouddhisme, selon laquelle la cause de la souffrance est l’attachement. C’est parce qu’on s’acharne à réfléchir sur les raisons de son malheur que l’on devient dépressif, emporté par les émotions négatives que cette réflexion induit. Et le bouddhisme, dont le lama tibétain Sogyal Rinpoché dit que « tout l’enseignement vise la suppression de la souffrance », a de longue date mis au point des pratiques pour contrôler et éliminer ces émotions négatives. « La qualité merveilleuse de l’esprit est qu’il peut être transformé, poursuit le lama. Il dispose pour cela de quatre outils, qui sont autant de remèdes : la raison - qui permet de dégager la réalité des projections de notre esprit -, la méditation - pour mesurer l’évanescence de nos pensées -, la compassion - pour apporter à l’esprit la tendresse -, et la visualisation et les mantras - pour faciliter le travail ! »

« En adaptant les pratiques de méditation et le yoga conscient à un environnement séculier, nous enseignons le bouddhisme sans mentionner le bouddhisme, ajoute Jon Kabat-Zinn Où pourrait-on, mieux qu’à l’hôpital, offrir une approche universelle du soulagement de la souffrance tout en vérifiant son efficacité ? » De là à considérer la dépression comme un bien, il n’y a qu’un pas que certains bouddhistes franchissent presque. Comme la psychologue danoise Lene Handberg - curieusement chargée par son maître Tarab Tulku Rinpoché d’aller enseigner le bouddhisme aux jeunes tibétains en exil, aujourd’hui trop occidentalisés pour accepter l’enseignement classique. « La dépression est une clé pour changer, déclare-t-elle, car elle offre l’occasion de nous écarter de cette réalité conceptuelle, faite de mots, que nous prenons pour la réalité. En nous ramenant à nos sensations, elle nous permet de mesurer l’interdépendance entre les deux : la dure réalité existe, mais si nous refusons de l’identifier à nos états intérieurs, nous pouvons trouver les moyens de la changer, l’unité dans la dualité. » Tous les espoirs sont donc permis, aux déprimés lambda comme aux vrais dépressifs - à condition qu’ils méditent !

À lire
Où tu vas, tu es, Jon Kabat-Zinn, éd. J’ai Lu, 2005

La thérapie cognitive basée sur la pleine conscience pour la dépression, Z. Segal, J.M.G. Williams, J. Teasdale, éd. de Boeck, 2006

L’infini pouvoir de guérison de l’esprit, Tülkou Thöndoup, éd Le Courrier du Livre, 2001

Aide-toi, ton corps t’aidera, Anne-Marie Filliozat et Dr Gérard Guasch, éd. Albin Michel, 2006



Découvrez Ravi Shankar!


Dans le dossier du mois de nouvelles clés: MEDITER POUR SOIGNER LE MONDE
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Thérapie et Méditation Empty LES DENTS

Mer 17 Déc 2008 - 10:36
Thérapie et Méditation Chrys_20

LES DENTS

Les dents représentent les décisions

Je suis exactement où je dois être
Je suis toujours en sécurité

Problèmes dentaires
Indécisions prolongées

Incapacité à analyser des idées et prendre des décisions

Je fonde mes décisions sur les principes de vérité et me repose sur la certitude qu’il n’y a
que des actions justes dans ma vie…

D’accord avec mon corps
LOUISE L. HAY

Les dents sont reliées aux décisions. Quand tu as mal aux dents, cela signifie que tu dois
présentement prendre des décisions mais que tu as peur des conséquences reliées
à ces décisions ton corps te dit qu’il ne t’est pas bénéfique d’utiliser ton
imagination pour te faire peur ainsi. Si ce sont les dents du côté gauche de la
bouche qui te font souffrir, les choses à décider ne sont pas tellement
calculées d’avance ni réellement conscientes ; elles sont plutôt instinctives.
Si le mal se trouve du côté droit, il indique une décision plus consciente, plus
intentionnelle, plus voulue.

Les problèmes de gencives comportent un message du corps à l’effet que tu as beaucoup
de difficultés à mettre à exécution des décisions déjà prises. Tu ne sais pas
trop sur quel pied danser, tu es incertaine. Ton corps te dit de passer à
l’action. Tu ne peux pas faire d’erreurs car tout est une expérience.
S’il s’agit de gencives qui saignent, c’est l’indication d’un manque de joie venu de
décisions prises.

Qui es-tu ?
LISE BOURBEAU


CHRYS
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Thérapie et Méditation Empty Re: Thérapie et Méditation

Mer 17 Déc 2008 - 11:03
Et bien voilà un joli post bien pratique moi qui ai justement eu mal aux dents à gauche et aussi aux gencives!!

Merci Chrys...

J'ai déjà aussi eu en main un tableau de correspondance entre dents, organes et émotions ainsi que les façons alternatives de soigner...si quelqu'un a ce lien ...BIENVENUE AUSSI

sunny sunny sunny
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Sam 20 Déc 2008 - 12:12
Entretien de 42 minutes avec Matthieu Ricard, réalisé par Marc de Smedt.

Qu’est-ce que la méditation ? « C’est tout simplement l’entraînement de l’esprit », nous dit le scientifique et moine bouddhiste Matthieu Ricard, qui veut laïciser l’acte de méditer.

http://www.nouvellescles.com/passages-cles.php3


Dernière édition par Admin le Lun 26 Jan 2009 - 12:51, édité 1 fois
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Lun 26 Jan 2009 - 9:57
SI je peux me permettre encore un petit avis...je sens et pense que la méditation comporte des préalables...je les trouve dans la relaxation pour ne pas forcer ni les cellules ni le mental qui est souvent un grand rebelle.

Méditer, se concentrer sur un sujet "élevé" demande que notre mental accepte de se concentrer un certain temps de plus en plus long sur quelque chose dont il n'a pas forcemment envie!

Il aime voyager, vagabonder de ci de là...donc , il est bon aussi de le laisser un peu faire en l'observant avec bienveillance puis , d'abord se détendre...et lorsque nous sommes détendus...l'inviter (il vaut mieux l'inviter pour ne pas heurter sa susceptibilité d'indépendance lol)...à se concentrer sur la lumière blanche par exemple ...

Une détente suivie d'une méditation réussie ...c'est quand on se sent mieux après qu'avant...à tous points de vue...

Nous avons tous une âme supérieure qui est Amour, Force, Lumière, Harmonie...qui est notre Individualité ainsi qu'une âme personnelle qui est notre personnalité...Nous sommes tantot dans une ...tantot dans l'autre...pouvoir comprendre cela et savoir où l'on est est une véritable bénédiction qui nous permet d'agir...tout ce qui fait souffrir est de l'ordre de la personnalité et tout ce qui élève vraiment est de l'ordre "divin".

Moi qui ai une sacrée personnalité ...je peux te dire que c'est tout un travail que d'arriver à mieux se connaitre, se voir, s'accepter telle que l'on est ...mais le sens ...est surtout d'arriver à mettre notre personnalité au service du meilleur en soi...pour qu'il s'exprime.

Il vaut mieux se concentrer sur la moindre petite parcelle de positif pour l'agrandir...après cela...lorsqu'il y aura assez de positif...il est possible alors de transformer ce qui ne nous convient plus.

La plupart du temps, nous sommes dans la personnalité alors que nous croyons être dans l'Individualité etc...

Rien n'est jamais acquis...il se peut même que l'Individualité fasse quelque fois acte de présence en nous...suite par exemple à de grandes souffrances et à des demandes intenses d'aide en nous...mais elle ne reste pas forcemment de manière stable si nous retombons dans nos vieilles habitudes etc...

Il n'est pas nécessaire de souffrir pour demander "sa présence"...mais nous sommes ainsi fait que voilà...
Je crois aussi que la méditation peut finir par avoir un impact positif sur la santé comme tout ce que nous faisons de positif qui maintient en nous la paix et l'enthousiasme...qui nourrit le bonheur en nous!!

La principale interaction dans la méditation se passe dans le calme du silence intérieur...l'interaction avec les autres peut aussi aider mais pas toujours...on peut aussi se "perdre" dans les autres qui sont des miroirs des différentes facettes de nous mêmes.

Je dois traverser actuellement de grandes souffrances aussi et à tous points de vue. Humblement je partage mon avis et je parle aussi pour moi...

Je suis sensible aux autres et je me sens concernée par leur souffrance désirant ardemment aider de mon mieux!



Bonne Journée
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Ven 3 Avr 2009 - 8:28
Finalement, c’est notre corps qui connaît la solution
Avec Catherine Aimelet-Périssol et Anne-Marie Filliozat


Ce qui frappe le plus le Dr Catherine Aimelet-Périssol - qui vient de publier Mon corps le sait [1] -, quand elle reçoit en séance de psychothérapie des femmes ou des hommes dont la vie semble n’avoir jamais autorisé l’épanouissement d’un grand désir profond, c’est leur corps. Cette sensation très physique de rétrécissement, d’emprisonnement, d’ailes coupées au ras des omoplates. Un jour, une patiente l’a d’ailleurs exprimé comme ça : « Mes ailes ne se sont jamais déployées »...

« Elle faisait le geste d’agiter des moignons d’aile avec ses épaules, raconte Catherine Aimelet-Périssol. Alors je l’ai invitée à se lever et nous nous sommes mises toutes les deux, côte à côte, face à la fenêtre ouverte, pour éprouver ce que cela faisait, de déployer ses bras et de les ouvrir grands, face au vide, en pensant à toutes les générations de femmes de sa famille, qui n’avaient jamais ouvert leurs ailes, jamais pu épanouir leurs désirs ni leurs talents, condamnées au destin désespérant de femmes au foyer rivées à leurs casseroles et à leur marmaille. Et c’était incroyablement émouvant, de sentir cette femme traversée par le désir physique de sortir de son cocon. « La tâche inachevée, pour moi, est en liaison directe avec la sensation émotionnelle. Nos structures les plus archaïques, notre fameux cerveau reptilien, que j’appelle notre crocodile, sent très bien les urgences à combler parmi toutes nos incomplétudes qui, pour lui, se traduisent par des atteintes aux fonctions vitales : manger, boire, dormir en sécurité, se reproduire, appartenir à un groupe, bouger librement. Le “crocodile” de cette femme ne nourrissait aucun doute quant à son besoin vital d’ouvrir ses ailes, c’est à dire de vivre plus libre, plus en mouvement. Notre corps sait pertinemment que l’arrêt du mouvement, c’est la mort. Il nous informe donc à intervalles réguliers - à sa manière : par des douleurs et des malaises - sur les zones où nous sommes menacés de paralysie mortifère. J’étouffe, je n’en peux plus, je suis oppressée, je suis coincée, j’ai les nerfs en pelote, je suis humiliée, j’ai la gorge nouée, ou les jambes coupées, ou l’estomac en boule... Toutes ces sensations sont des messages signalant une tâche à accomplir - qui peut être simplement de ne pas oublier de respirer ! Le seul fait de reconnaître le message nous libère déjà beaucoup. Notre crocodile va lâcher son emprise : son message est passé, la douleur s’estompe. Le problème, c’est que cette information, venue des couches primaires et vitales, entre en conflit avec d’autres informations, venues des cortex intermédiaire et supérieur, qui poussent par exemple la personne à imiter ses aînés et à strictement limiter ses actions à ce que sa mémoire a déjà répertorié. Se lancer dans l’inconnu et la nouveauté ne peut pas être répertorié. Respirer amplement, ouvrir ses ailes, sortir des sentiers battus, libérer sa créativité, cela ne se fait pas dans ma famille ! Inconsciemment, je m’interdis d’achever ma tâche. Mes structures supérieures s’opposent aux pulsions vitales de mon crocodile.

« Ce conflit peut se traduire par de l’angoisse, de la peur, de la panique, de la colère (contre ceux qui nous limitent dans notre désir d’épanouissement, de libération, de libido), d’agressivité (sur l’autre ou sur soi), ou alors de dépression, où l’on se donne à vivre la mortification, comme une information qui dirait : “Voilà ce que ça fait de ne pas vivre”. Malheureusement cette non-vie peut devenir mon terrain familier, qui me rassure et me permet, par exemple, de me positionner en éternelle victime. Chez certaines personnes, l’idée même de s’en sortir a disparu de l’imaginaire et c’est à l’accompagnant thérapeutique de les obliger à passer la barre et à visualiser l’inconcevable : respirer, ouvrir ses ailes, écouter son désir profond, achever sa tâche. Lorsqu’on y parvient, le résultat peut éclater soudain de façon spectaculaire. Tous les traits de la personne changent : elle a entrevu la perspective de son propre épanouissement. C’est très émouvant. Vient alors la seconde étape : son entourage va-t-il accepter un tel changement ? De prime abord, évidemment non. Il s’agit donc de pousser l’imagination un cran plus loin : ressentir quels bénéfices les autres tireraient du fait que nous persistions dans une voie nouvelle. Parfois l’entourage lui-même est trop raide et l’on se dirige alors vers une séparation. Il arrive qu’achever sa tâche passe, par exemple, par un divorce, un changement de travail, un déménagement... Retrouver sa mobilité, physique et psychique, cela se paye, mais c’est vital. »

Pour la psychosomaticienne Anne-Marie Filliozat, cette redécouverte de la fluidité, de la liberté, et donc de la santé, passe par une foule de petits actes hyper concrets, dont elle parle dans son livre Aide-toi, ton corps t’aidera [2]. Pour pouvoir nous permettre d’exprimer nos émotions refoulées, elle nous suggère par exemple de parler à telle personne qui nous a bloqué dans notre enfance (comme si elle était présente), ou de lui écrire une lettre (qu’on brûlera ensuite), pour dire ce qu’on a gardé sur le cœur, puis de prendre la décision de changer. Mais aussi arrêter de se dire : « Il faut », « Je dois », de se faire des reproches : « Je suis nul ». À la place, se dire plutôt, à voix haute : « J’ai envie de finir », « Je vais finir », « Je serai tellement content quand j’aurai terminé ». Se faire un échéancier réaliste, sur un cahier destiné à cet usage. Et si la tâche du jour n’a pas été effectuée, noter pourquoi : « Qu’est ce qui m’en a empêché aujourd’hui ? » Se connecter avec l’énergie de l’achèvement, en se remémorant une tâche menée à bien un jour, éventuellement dans l’enfance. Anticiper enfin le plaisir du moment où la tâche sera achevée. Ouf ! Cela peut se faire en relaxation, avec des images corrélées à des sensations de confiance, de sécurité, de puissance. Les tâches inachevées sont souvent de toutes petites choses. C’est par une politique des tout petits pas qu’on en vient finalement à bout. Et alors, tout peut commencer.

[1] Mon corps le sait, Dr Catherine Aimelet-Périssol et Sylvie Alexandre, éd. Robert Laffont.

[2] Aide-toi ton corps t’aidera, Anne-Marie Filliozat et Dr Gérard Guasch, éd. Albin Michel.



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Ven 3 Avr 2009 - 16:13
soleil chez toi magnifique

pour illustrer ton exposé je viens de vivre un truc inhabituel j'ai les mains et les pieds qui pèlent ma première idée mycose j'ai fait le nécessaire...pas de résultat je vais à la pharmacie elle me dit ça a l'air un exzéma et rajoute avez-vous eu un stress dernièrement moi non..aujourd'hui ça me fait tilt que oui j'ai un stress avec cette maison à la montagne qui prend l'eau avec cette neige et le toît du voisin n'étant pas conforme avec la loi ..tous les ennuis juridiques..j'ai mis la pommade pour l'exzéma oui c'était bien ça..
J'ai vu ta question sur les dents j'aimerai le tableau de correspondance dents organes émotions...c'est pas la joie j'ai dû arracher une dent la24 expliquezmoi ange MERCI
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