Maman bébé

Récit de Cansoun - maman de Tom-Elliot ( membre du forum mamanbébés )

Alors j’ai appris que j’étais enceinte le 27 août 2001, mais bien que le 15 août je le sentais déjà, je sais pas un truc que seule nous les futurs mamans pouvons ressentir !!!!.

Lorsque j’ai fais le test de grossesse et la prise de sang je n’avais pas encore de retard mais la douleur au seins à été le signe le plus important.

Les 2 premiéres semaines étaient idylliques, le bébé tant désiré était là !!!!!. Et puis après tous ce gâte, la fatigue, et surtout les nausées qui me lachent pas. Chaque matin avant toutes choses direction toilette !!!.

Je me rappelle surtout les crises de pleures tellement j’ai avais marre de vomir même la nuit, aucuns médicaments ne fait effet.

Début octobre 2001 j’ai RV pour la 1ére écho et surtout déclarer notre bébé à la sécu. La gynéco me prescrit toutes les prisent de sang obligatoire et enfin l’écho. Il est magnifique, nous entendons son petit cœur, il bouge, la plus belle écho de ses 9 mois de grossesse !!!!. Voilà dans un peu plus de 6 mois nous serons 3, notre vie ne sera que du bonheur.

Le ledemain matin je vais faire mes prises de sang, les résultats seront là demain matin. Donc le lendemain à la 1ére heure nous allons chercher les résultats. Le laborantin me dis de contacter d’urgence ma gynéco qu’elle a les résultats en main. Nous savons déjà que nous allons vivre un moment éprouvant mais le papa est là pour me rassurer, bien que lui à très peur, mais il prend déjà son rôle à cœur.

10h nous sommes dans le bureau de la gynéco et là elle nous annonce « Votre taux de Rubéole est 1 000 fois supérieur à la normal, je pense que vous avez la maladie actuellement », la tous s’éffondre, j’éclate en sanglot, nous sommes en pleins procés de l’affaire Perruche et je savais très bien ce que risquait le bébé. Elle nous conseille un ITG pour l’après-midi même. Mais mon mari ne veux pas, il veut des annalyses en plus pour confimer le diagnostic. La commence un bras de fer entre la gynéco et mon mari, moi éffondrée au milieu je ne peux réagir, j’ai entierement confiance en mon mari et je me repose sur lui.

La gynéco accepte de faire des analyses supplémentaires mais les résultats dans 3 semaines, elle veut faire une écho de contrôle. Je m’installe la peur au ventre de découvrir une malformation à l’écho, elle tourne l’écran pour ne pas voir, mais encore mon mari insiste pour que nous le voyons, comme il dit il fait parti de notre vie et s’il doit arriver le pire nous voulons encore le voir !!!.

L’écho est parfaite, aucune malformation apparente et même son petit cœur bat. Déjà la nous savions tous les deux que tous allait bien ce passer.

3 semaines d’angoisse, puis le 31 octobre à 18 heures, la délivrance enfin. « votre bébé ce porte comme un charme, votre rubéole date de 2 ans, mais le taux n’a pas baissé », voilà nous allons pouvoir vivre pleinement cette grossesse. De ce jour je me suis dit que rien ne pourrais me pertuber dans cette aventure extraordinnaire qu’est la naissance.

Visite du 4éme mois, mon mari n’est pas venu car en principe pas d’écho. Pas de chance car la gynéco me propose une écho pour voir si le bébé est un garçon ou une fille. Résultat……………………. Ce sera un petit Gars, notre petit garçon !!!!.

Passé le 1er trimestre les nausées ce sont envolées comme par magie, je vis ma grossesse extrement bien, nous commencons l’hapto au 5éme mois. Je travaille jusqu’à fin février, je suis arrêtée car mon col est dilaté à 2cm, mais chuuuuuuuuuuuuuuuut je continue à bosser quelques heures par semaine !!!.

Pas de soucis pour l’accouchement car notre petit bonhome est placé depuis les 4,5 mois de grossesse. Je me balade beaucoup, je me suis jamais sentie aussi bien que quand j’étais enceinte. Seul petit bémol les Reflux qui me font souffrir énormément suite à un Cardia-Béant que j’ai depuis la naissance.

Toutes ma grossesse ce passe comme un charme, le dernier mois beaucoup de contractions mais rien de bien méchant, mais qui m’a vallut quand même 2 visites à la clinique !!!!.

Tom-Elliot bouge beaucoup, surtout à la fin les coups de pieds dans les côtes je m’en souviens !!!.

Le gynéco me prévoit un accouchement avant terme, « votre col est ouvert à 2cm, votre bébé est très, très bas », bin voyons c’était sans compter sur Tom-Elliot.

Donc Tom-Elliot, et oui nous avions choisi son prénoms à la fin du 8éme mois, était prévu pour le 8 mai 2002, donc à la fin je marche beaucoup, beaucoup de voiture. Faut que je vous dises quand même que j’ai fais Lyon-Annecy/Annecy-Lyon en 1 journée à 10 jours du terme et bien rien pas une contraction !!!!. Donc Tom-Elliot avait décidé que non le 8 mai ne lui convenait pas, le gynéco de la clinique voulait absolument me provoqué car j’ai fais une bonne rétention d’eau qui commencait sérieusement à l’inquiéter mais bon comme quoi !!!!.


sur le site:

http://www.mamanbebes.org/index.php?lng=fr

L'éducation prénatale naturelle

Marie-Andrée Bertin


De nos jours, nombreuses sont les psychanalyses et les psychothérapies qui tendent à ramener à la lumière du conscient des traumatismes psychologiques enfouis.
Ces démarches, certes réparatrices, sont-elles suffisantes pour construire l'avenir ? Le temps n'est-il pas venu de s'attacher à édifier la santé physique et psychique de l'être humain dès sa formation, à la période prénatale ? Les recherches scientifiques et psychologiques de ces dernières décennies confirment l'intuition millénaire des femmes : l'enfant in-utero est un être sensitif, sensible, réagissant car, depuis sa conception, ses cellules s'informent en même temps qu'elles se forment.
Par les puissances de vie qui sont en lui et au moyen des matériaux physiques, affectifs et mentaux apportés par sa mère - et à travers elle par le père et l'environnement - l'enfant prénatal construit les premières bases de sa santé, de son affectivité, de ses modes relationnels, de ses capacités intellectuelles, voire de la créativité. Cette éducation prénatale, naturelle, est fondamentale. Dans un langage clair et simple, le présent ouvrage rassemble des connaissances utiles, des témoignages et des suggestions susceptibles de nourrir la créativité des futurs parents.
Éducateurs, jeunes, public et décideurs sociaux y trouveront des informations globales qui pourront guider leurs choix. De cette prise de conscience collective dépend en grande partie l'avenir des individus, des couples, des familles et des sociétés. Marie-Andrée Bertin, directrice honoraire d'école maternelle chargée de la formation des maîtres aux plans départemental et national, avait remarqué des correspondances évidentes entre les problèmes, ou une aptitude particulière, de certains enfants et la façon dont leur mère avait vécu sa grossesse.
Dès 1982 en France, elle participe à la fondation de la première Association pour l'Éducation Prénatale. Depuis 1991, elle préside l'OMAEP (Organisation Mondiale pour l'Éducation Prénatale) qui regroupe 17 associations nationales diffusant sur trois continents les nouvelles connaissances sur la vie prénatale.



http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/collectif/l-education-prenatale-un-espoir-pour-l-avenir,1595986.aspx