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- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Jeu 31 Mar 2011 - 7:28
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
- Un Cartésien se pencha et lui dit : « Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou ».
- Un spiritualiste le vit et dit : « Vous avez dû commettre quelque péché ».
- Un scientifique calcula la profondeur du trou et la vitesse de chute.
- Un journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
- Un yogi lui dit : « Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ».
- Un médecin lui lança 2 comprimés d’aspirine.
- Une infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui.
- Un psychanalyste l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
- Un thérapeute l’aida à se débarrasser de sa compulsion à tomber dans les trous.
- Une pratiquante de la pensée positive l’exhorta : « Quand on veut, on peut ! »
- Un optimiste lui dit : « Vous avez de la chance, vous auriez pu vous casser une jambe ».
- Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d’empirer ».
Puis un enfant passa, et lui tendit la main…
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Re: Conte de sagesse
Lun 18 Avr 2011 - 6:28
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Lun 13 Juin 2011 - 18:31
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Un petit garçon regardait son grand père écrire une lettre. A un certain moment, il demanda :
"Tu écris une histoire qui nous est arrivée ? Est-ce par hasard une histoire sur moi ?"
Le grand père cessa d'écrire, sourit, et déclara à son petit-fils :
"J'écris sur toi, c'est vrai. Mais plus important que les mots est le crayon que j'utilise. J'aimerais que tu sois comme lui quand tu seras grand."
Intrigué, le gamin regarda le crayon, et il ne vit rien de particulier.
"Mais il est pareil à tous les crayons que j'ai vus dans ma vie!"
- Tout dépend de la façon dont tu regardes les choses. Il y a en lui cinq qualités qui feront de toi, si tu parviens à les garder, une personne en paix avec le monde.
"Première qualité : tu peux faire de grandes choses, mais dans l'évolution, tu ne dois jamais oublier qu'il existe une Main qui guide tes pas. Cette main, nous l'appelons Dieu, et Il doit toujours te conduire vers Sa volonté.
"Deuxième qualité : de temps à autre je dois cesser d'écrire et utiliser le taille-crayon. Le crayon souffre un peu, mais à la fin il est mieux aiguisé. Par conséquent, sache supporter certaines douleurs, car elles feront de toi une meilleure personne.
"Troisième qualité : le crayon nous permet toujours d'utiliser une gomme pour effacer nos erreurs. Comprends que corriger une chose que nous avons faite n'est pas nécessairement un mal, mais c'est important pour nous maintenir sur le chemin de la justice.
"Quatrième qualité : ce qui compte vraiment dans le crayon, ce n'est pas le bois ou sa forme extérieure, mais le graphite qui est a l'intérieur. Par conséquent, prends toujours soin de ce qui se passe en toi.
"Enfin, la cinquième qualité du crayon : il te laisse toujours une marque sur son chemin. De même, sache que tout ce que tu feras dans la vie laissera des traces, et efforce-toi d'être conscient de tous tes actes."
Extrait du livre de Paulo Coelho " Comme le fleuve qui coule".
Donné par Angus léonis sur FB
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Re: Conte de sagesse
Mar 5 Juil 2011 - 6:45
Un homme et son chien !
Un homme et son chien marchent le long d'une route. L'homme admire le paysage quand tout d'un coup il réalise qu'il est mort. Il réalise aussi que son chien est mort depuis des années. Il se demande où le chemin les conduit.
Ils approchent d'une grosse roche blanche qui ressemble à une bille. Ils avancent encore. Elle est fendue et un lumière éblouissante en jaillit.
Puis, ils voient une route en or pur et une porte grandiose. À l'entrée, un homme est assis à une table. Le voyageur lui demande:
- Où sommes-nous?
- Au Paradis
- Wow! Avez-vous de l'eau?
- Bien sûr! Entrez!
- Est-ce que mon chien peut entrer?
- Désolé, nous n'acceptons pas les animaux.
L'homme réfléchit et reprend le chemin. Après une longue marche, il croise une route de terre qui conduit à une porte de grange qui donne l'impression de n'avoir jamais été fermée. Il n'y a pas de clôture. Accoté sur un arbre un homme lit un livre.
- Excusez-moi monsieur, est-ce que vous avez de l'eau?
- Bien sûr, il y a une pompe à l'intérieur.
- Est-ce que mon ami peut venir?
- Bien sûr, il y a un bol près de la pompe.
Ils franchissent la porte et voient une vieille pompe avec un bol par terre. L'homme remplit le bol, prend un gorgée et donne le reste au chien. Quand ils eurent fini de boire, il se retourne...
- Comment appelez-vous cet endroit?
- Le paradis.
- L'homme que nous avons rencontré un peu plus tôt dit la même chose.
- Ah vous parlez du chemin en or et de la porte en perle? Non, c'est l'enfer.
- Ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom?
- Non, comme ça, ils éliminent les gens qui abandonnent leurs amis.
http://www.funfou.com/fables/amidelhomme.phtml
BONNES VACANCES ! avec ou sans chien ou chat…
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Re: Conte de sagesse
Dim 17 Juil 2011 - 3:07
Découvrez ce texte soufi sur le blog de l'Eveil...http://kerisahel.blogspot.com/2011/07/les-trois-oasis.html?spref=fb
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Re: Conte de sagesse
Mer 27 Juil 2011 - 16:11
L'HISTOIRE DU JOUR
Il était une fois un beau jeune home qui voyageait de village en
village. Il était marchand de casquettes. Un soir d'été, alors
qu'il traversait une vaste forêt, il se sentit fatigué et décida de
faire une sieste à l'ombre d'un manguier plein de branches.
Il posa son sac de casquettes à côté du tronc et s'endormit. Après
un petit moment, il se réveilla, il n'y avait plus aucune casquette
dans son sac.
"Mon Dieu, se dit-il. Est-ce que des voleurs sont venus tout me
dérober ? » Il s'aperçut alors que le manguier était plein de
singes adorables portant des casquettes de toutes les couleurs.
Il hurla après les singes, et les singes hurlèrent en retour. Il
leur fit des grimaces, et ils firent les mêmes mimiques amusantes.
Il leur lança une pierre, et ils le douchèrent de mangues fraîches.
« Comment récupérer mes casquettes ? » se dit-il. Irrité, il retira
sa casquette et la jeta par terre. A sa grande surprise, les singes
jetèrent leur casquette aussi. Il ne perdit pas une minute,
récupéra ses casquettes et reprit sa route.
Cinquante ans après, son petit fils traversa la même jungle. Après
une longue marche, il trouva un beau manguier plein de branches,
avec une ombre fraîche, et décida de se reposer un moment. Quelques
heures plus tard, lorsqu'il se réveilla, toutes les casquettes
avaient disparu de son sac. Il commença à les chercher, et trouva
bientôt des singes qui étaient assis dans le manguier, avec des
casquettes sur la tête.
Il se souvint alors d'une histoire que son grand père lui racontait
- et fit un signe de la main aux singes. Les singes firent un signe
de la main. Il se moucha, et les singes se mouchèrent. Il jeta sa
casquette par terre, et alors un des singes sauta de l'arbre,
marcha jusqu'à lui, lui donna une tape dans le dos et lui dit :
« Tu penses être le seul à avoir eu un grand-père ? »
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Dim 23 Oct 2011 - 20:17
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Le vieil Antonio et le lion
"Le lion est fort parce que les autres animaux sont faibles. Le lion mange la viande des autres parce que les autres se laissent manger. Le lion ne tue pas avec ses griffes ou ses crocs. Il tue par le regard. D’abord, il s’approche lentement... en silence, parce qu’il a des nuages aux pattes qui tuent le bruit. Puis il saute et renverse sa victime, d’un coup de patte qui l’abat plus par la surprise que par la force.
"Puis il continue de la regarder. Il regarde sa proie. Comme ça... (et le vieil Antonio de froncer les sourcils et de me planter ses yeux noirs). Le pauvre petit animal qui va mourir ne peut que regarder, il regarde le lion le regarder. Le petit animal ne se voit plus lui-même, il regarde ce que regarde le lion, il regarde l’image du petit animal dans le regard du lion, il regarde à quel point, dans le regard du lion qui le regarde, il est petit et faible. Le petit animal ne se demandait même pas s’il était petit et faible, il n’était qu’un petit animal, ni grand ni petit, ni fort ni faible. Mais maintenant qu’il se regarde dans le regard du lion, il voit la peur.
Et voyant qu’on le regarde, le petit animal se convainc lui-même, tout seul, qu’il est petit et faible. Et, dans la peur qu’il voit que le lion voit, il a peur. Alors le petit animal ne regarde plus rien, ses os se figent, comme nous quand l’eau nous prend dans la montagne, la nuit, dans le froid. Alors, le petit animal se rend comme ça, il s’abandonne, et le lion le croque sans problème. Voilà comment le lion tue. Il tue en regardant.
Mais il existe un petit animal qui ne fait pas comme ça, et qui lorsque le lion l’attrape n’y fait pas attention et continue comme si de rien n’était, et si le lion le frappe, il répond de ses petites mains, qui sont petites mais qui font mal lorsqu’elles font couler le sang. Et cet animal ne se laisse pas faire par le lion parce qu’il ne voit pas qu’on le regarde... il est aveugle. Des taupes, voilà comment on appelle ces petits animaux."
On dirait que le vieil Antonio a fini de parler. Je risque un "Oui, mais..." Le vieil Antonio ne me laisse pas continuer, il poursuit son histoire en se roulant une autre cigarette. Il procède lentement, tournant souvent la tête pour s’assurer que je suis bien attentif.
"La taupe est devenue aveugle parce que, plutôt que de regarder vers l’extérieur, elle s’est mise à regarder son coeur, elle s’est forcée à regarder au-dedans. Et personne ne sait pourquoi il lui est passé par la tête de regarder au-dedans. Et voilà cette taupe ignorante qui se regarde le coeur et ne se soucie donc pas de savoir qui est fort ou faible, qui est grand ou petit, parce que le coeur est le coeur et qu’on ne le mesure pas comme on mesure les choses ou les animaux.
Et cette façon de se regarder le coeur, seuls les dieux pouvaient le faire, alors les dieux ont puni la taupe en ne la laissant plus regarder au-dehors et en plus, ils l’ont condamnée à vivre et marcher sous la terre. C’est pourquoi la taupe vit sous la terre, parce que les dieux l’ont punie. Et la taupe n’a même pas ressenti de chagrin parce qu’elle a continué à se regarder dedans. C’est pour ça que la taupe n’a pas peur du lion. Pas plus que n’a peur du lion l’homme qui sait se regarder le coeur.
Parce que l’homme qui sait regarder son coeur ne voit pas la force du lion, il voit la force de son coeur, alors il regarde le lion, et le lion voit que l’homme le regarde et voit ce que l’homme regarde, et le lion voit, dans le regard de l’homme, qu’il n’est qu’un lion, et le lion voit qu’on le regarde, il prend peur et s’enfuit."
Ici rien n’a changé. Il n’y a toujours pas de démocratie
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Re: Conte de sagesse
Jeu 27 Oct 2011 - 11:04
La patience
Un jeune lettré venait d'être reçu au concours de mandarin. Avant de rejoindre sa première affectation officielle, il organisa une fête avec ses condisciples pour célébrer l'évènement. Au cours de la soirée, l'un de ses amis, qui était déjà en poste depuis quelques temps, lui donna ce conseil :
- Surtout, n'oublie pas : la plus grande vertu du mandarin, c'est la patience.
Le fonctionnaire novice salua respectueusement son aîné et le remercia chaleureusement pour cette précieuse recommandation.
Un mois plus tard, au cours d'un banquet, le même ami lui préconisa encore de bien s' appliquer à la patience. Notre jeune lettré le remercia avec un sourire amusé.
Le mois suivant, ils se croisèrent dans les couloirs feutrés d'un ministère. L'aîné attrapa la manche du cadet, le tira vers lui et lui souffla dans l'oreille son sempiternel conseil. L'autre, contrairement à l'étiquette ouatée qui était de rigueur dans les bâtiments officiels, retira brusquement sa manche de soie et s'écria :
- Tu me prends pour un imbécile ou quoi? Voila trois fois que tu me répètes la même chose!
Pendant qu'un cortège de dignitaires outrés se retournait, le mentor déclara :
- Tu vois, j'ai bien raison de le répéter. Mon conseil n'est pas si facile à mettre en pratique!
Contes des sages taoïstes, Pascal Fauliot. Seuil
_________________
"Ce n'est pas la souffrance qui grandit, mais ce que l'on en fait."
"La gratitude ne nie pas le tragique de l'existence, mais aide à trouver au cœur des tourments matière à progresser et même à se réjouir.
Alexandre Jollien
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Re: Conte de sagesse
Lun 9 Jan 2012 - 13:09
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Carotte, Oeuf ou Café
Par Chercheur de Dieu le lundi 31 août 2009, 19:41 - Textes- Lien permanent
Une jeune femme rendit visite à sa mère et lui dit que sa vie était tellement difficile qu'elle ne savait pas si elle pouvait continuer. Elle voulait abandonner car elle était fatiguée de se battre tout le temps.
Sa mère l'entraîna à la cuisine où elle remplit trois casseroles d'eau qu'elle mit à chauffer à feu vif. Lorsque l'eau commença à bouillir, la mère plaça des carottes dans la première casserole, des oeufs dans la seconde et des grains de café moulu dans la troisième. Elle les laissa bouillir sur le feu sans dire un mot.
Après 20 minutes, elle retourna à la cuisine, sortit les carottes et les posa sur un plat. Elle sortit les oeufs et les plaça dans un bol. Puis elle versa le café dans une carafe. Se tournant vers sa fille, elle dit : - Dis moi, que vois-tu ? - Des carottes, des oeufs et du café, répondit sa fille.
La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille les toucha et nota qu'elles étaient molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur. Finalement, la mère lui demanda de goûter au café. La fille sourit quand elle goûta son arôme riche.
La fille demanda alors : - Quel est ton message maman ?
La mère expliqua : - Les carottes, les oeufs et les grains de café ont affronté la même situation, l'eau bouillante. Alors pourquoi le résultat produit est-il différent ? Ce qui est important n'est pas la situation, mais la façon dont elle est interprétée et abordée. Les carottes sont entrées fortes, dures et solides. Mais, après l'épreuve de l'eau bouillante, elles sont devenues molles et faibles. L'oeuf était fragile avec l'intérieur liquide. Mais, après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur. Quant aux grains de café, ils ont, grâce à l'épreuve, exprimé toute la richesse de leur potentiel et ont réussi à changer l'eau. Que révèleront les épreuves que tu affrontes ? Seras-tu carotte, oeuf ou café ?
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Re: Conte de sagesse
Ven 3 Fév 2012 - 21:50
Métaphore : les deux graines .
Deux graines reposaient l’une à côté de l’autre dans une terre fertile au printemps.
La première graine dit :
« Je veux grandir ! Je veux plonger mes racines profondément dans la terre et lancer ma tige haut dans les airs… Je veux voir mes bourgeons s’ouvrir comme des drapeaux annonçant l’arrivée du printemps. Je veux sentir le soleil réchauffer mon visage et la rosée matinale caresser mes pétales ! »
Et elle grandit, ses racines se frayant un chemin profond et sûr.
La deuxième graine, moins enthousiaste, dit :
« J’ai peur. Si je plonge mes racines dans la terre que je ne connais pas, je ne sais pas ce qui m’attend dans cette obscurité. Ma tige est tellement fragile, si j’essaie de percer la croûte de terre pour m’élever dans les airs, elle risque de se briser. Et si, à peine entrouverts, un ver venait à manger mes bourgeons ? Et si je montrais ma fleur, qui sait ? Un enfant pourrait m’arracher de terre. Non ! Il vaut beaucoup mieux attendre pour sortir qu’il n’y ait plus aucun danger. »
Et elle resta immobile, retenait sa croissance, elle attendit jusqu’à ce que des « signes » viennent lui faire changer d’avis.
Un oiseau qui passait par là, fouillant la terre en quête de nourriture, trouva la graine qui attendait et la dévora aussi rapidement.
Chacun pourra trouver une interprétation à cette métaphore qui lui conviendra. Peut-être vous reconnaîtrez-vous.
Je vous propose de penser que ceux qui ne veulent pas prendre le risque de grandir se font submerger ou « avaler » par la vie qu’ils mènent en spectateurs.
Quels que soient les événements qui surgissent dans votre vie, vous êtes l’acteur de votre vie, ne la laissez pas dépendre votre bonheur de facteurs extérieurs. Vivez votre bonheur de l’intérieur !
Soyez cette graine désireuse de grandir et produire une belle fleur !
Bonne journée positive !
Votre partenaire dans l’optimisme.
Michel POULAERT.
http://www.sourcedoptimisme.com/article-metaphore-les-deux-graines-64925235.html
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Re: Conte de sagesse
Dim 5 Fév 2012 - 17:06
RABBIN
Un jour de sabbat, le fils d'un rabbin alla prier dans une synagogue autre que celle de son père. À son retour, le rabbin lui demanda :
— Eh bien, as-tu appris quelque chose de nouveau ?
Et le fils de répondre :
— Oui, bien sûr!
Le père, un peu vexé dans sa fierté de rabbin, reprit :
— Alors, qu'est-ce donc qu'ils enseignent là-bas ?
— Aime ton ennemi ! dit le fils.
Le père s'empressa de répliquer :
— Ils prêchent la même chose que moi. Comment peux-tu prétendre avoir appris quelque chose de nouveau ?
Le fils répondit :
— Ils m'ont appris à aimer l'ennemi qui habite en moi, alors que je m'acharne à le combattre.
Jean Monbourquette
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Re: Conte de sagesse
Dim 12 Fév 2012 - 10:56
LE CHEMIN DES MOTS
Il était une fois une petite fille qui ne trouvait jamais les mots pour dire ce qu'elle ressentait.
Chaque fois qu'elle tentait de s'exprimer, de traduire ce qui se passait à l'intérieur d'elle, elle éprouvait une sorte de vide.
Les mots semblaient courir plus vite que sa pensée. Ils avaient l'air de se bousculer dans sa bouche mais n'arrivaient pas à se mettre ensemble pour faire une phrase.
Dans ces moments-là, elle devenait agressive, violente, presque méchante. Et des phrases toutes faites, coupantes, cinglantes sortaient de sa bouche.
Elles lui servaient uniquement à couper la relation qui aurait pu commencer.
"De toute façon tu ne peux pas comprendre."
"Ca sert à rien de dire."
"Ce sont des bêtises de croire qu'il faut tout dire !"
D'autres fois, elle préférait s'enfermer dans le silence, avec ce sentiment douloureux : que de toute façon, personne ne pouvait savoir ce qu'elle ressentait, qu'elle n'y arriverait jamais, que les mots ne sont que des mots.
Mais tout au fond d'elle-même, elle était malheureuse, désespérée, vivant une véritable torture à chaque tentative de partage.
Un jour, elle entendit un poète qui disait à la radio qu'il y a, chez tout être humain, un chemin des mots qu'il appartient à chacun de trouver.
Et, dès le lendemain, la petite fille décida de partir sur le chemin des mots qui était à l'intérieur d'elle.
La première fois où elle s'aventura sur le chemin des mots, elle ne vit rien. Seulement des cailloux, des ronces, des branchages, des orties, et quelques fleurs piquantes.
Les mots du chemin des mots semblaient se cacher, paraissaient la fuir.
La seconde fois où elle chemina sur le chemin des mots, le premier mot qu'elle vit sur la pente d'un talus fut le mot "OSER".
Quand elle s'approcha, ce mot osa lui parler. Il dit d'une voix exténuée :
"Veux-tu me pousser un peu plus haut sur le talus ?"
Elle lui répondit : "Je crois que je vais te prendre avec moi et que je vais t'emmener très loin dans ma vie."
Une autre fois, elle découvrit que les mots étaient comme des signes sur le bord de ce chemin et que chacun avait une forme différente et un sens particulier.
Le deuxième mot qu'elle rencontra fut le mot "VIE".
Elle le ramassa, le mit contre son oreille.
Tout d'abord, elle n'entendit rien. Mais, en retenant sa respiration, elle perçut comme un petit chuchotement :
"Je suis en toi, je suis en toi." et plus bas encore :
"Prends soin de moi." Mais là, elle ne fut pas très sure d'avoir bien entendu.
Un peu plus loin sur le chemin des mots, elle trouva un petit mot tout seul, recroquevillé sur lui-même, tout frileux comme s'il avait froid.
Il avait vraiment l'air malheureux ce mot-là.
Elle le ramassa, le réchauffa un peu, l'approcha de son coeur et entendit un grand silence.
Elle le caressa et lui dit : "Comment tu t'appelles-toi ?"
Et le petit mot qu'elle avait ramassé lui dit d'une voix nouée :
"Moi, je suis le mot "SEUL". Je suis vraiment tout seul. Je suis perdu, personne ne s'intéresse à moi, ni ne s'occupe de moi."
Elle serra le petit mot contre elle, l'embrassa doucement et poursuivit sa route.
Près d'un fossé sur le chemin des mots, elle vit un mot à genoux, les bras tendus.
Elle s'arrêta, le regarda et c'est le mot qui s'adressa à elle :
"Je m'appelle TOI", lui dit-il.
"Je suis un mot très ancien mais difficile à rencontrer car il faut me différencier sans arrêt des autres."
La petite fille le prit en disant :
"J'ai envie de t'adopter, toi, tu seras un bon compagnon pour moi."
Sur le chemin des mots elle rencontra d'autres mots qu'elle laissa à leur place.
Elle chercha un mot tout joyeux, tout vivant. Un mot qui puisse scintiller dans la nuit de ses errances et de ses silences.
Elle le trouva au creux d'une petite clairière. Il était allongé de tout son long, paraissait détendu les yeux grands ouverts.
Il avait l'air d'un mot tout à fait heureux d'être là.
Elle s'approcha de lui, lui sourit et dit :
"C'est vraiment toi que je cherchais, je suis ravie de t'avoir trouvé. Veux-tu venir avec moi ?"
Il répondit: "Bien sûr, moi aussi je t'attendais..." Ce mot qu'elle avait trouvé était le mot VIVRA.
Quand elle rassembla tous les mots qu'elle avait recueillis sur le chemin des mots, elle découvrit avec stupéfaction qu'ils pouvaient faire la phrase suivante :
"Ose ta vie, toi seule la vivras."
Elle répéta plus lentement :
"Ose ta vie, toi seule la vivras."
Depuis ce jour, la petite fille prit l'habitude d'aller se promener sur le chemin des mots.
Elle fit ainsi des découvertes étonnantes, et ceux qui la connaissent furent très surpris d'entendre tout ce que cette petite fille avait à l'intérieur d'elle.
Ils furent étonnés de toute la richesse qu'il y avait dans une petite fille très silencieuse.
Ainsi ce termine le conte de la petite fille qui ne trouvait jamais les mots pour se dire.
Auteur Inconnu
http://www.yoga-plenitude.com/pages/content/poemes/le-chemin-des-mots.html
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Jeu 23 Fév 2012 - 9:16
LES HABITS DU SAGE.
Club Positif
Un Roi, ayant entendu parler d'un Sage dont l'enseignement était réputé dans la région, l'invita à dîner.
Le jour précédent l'invitation, le grand Maître se présenta au palais dans l'habit de mendiant qu'il portait parmi ses disciples. Personne ne fit attention à lui.
Il entra, mais n'eut pas même le temps d'arriver à la salle à manger : les pages du Roi, voyant ce mendiant souiller de sa présence le sol royal, le menèrent vers les cuisines où on lui offrit quelques restes.
Le Sage ne dit rien mais s'en alla comme il était venu.
Le lendemain, il revint chez le Roi, cette fois-ci vêtu de
son plus beau punjabi traditionnel : on lui réserva une place d'honneur au milieu des convives de haut rang.
Mais dès que les pages apportèrent les plats, la réaction du Sage surprit tout le monde: il prit la nourriture dans ses mains et en fit une boule qu'il mit dans ses poches.
Le Roi choisit de ne rien dire mais alors qu'on apportait
le dernier plat, le grand Maître plongea la main à l'intérieur et en retira une pleine poignée de riz qu'il répandit sur son manteau en disant:
« Tiens, c'est pour toi ».
Le Roi, n'y tenant plus lui lança:
« Serais-tu devenu fou, toi que l'on dit si sage ? »
Après un long silence, le Maître répondit:
« Je me suis présenté chez toi hier dans mon habit de mendiant et l'on m'a donné les restes comme à un chien. Aujourd'hui, j'arrive richement vêtu et on m'honore. C'est donc mon manteau que l'on invite, il est normal que ce soit lui qui se nourrisse. »
Sur quoi devons-nous juger autrui ?
Sur les apparences ou sur ce qu'il est vraiment ?
Comme ce Roi, nous sommes trop souvent méfiants et victimes des préjugés de notre caste, de notre famille, de notre condition sociale.
Nous fermons notre cour et notre raison avant de connaître la personne en face.
Avant de juger, écoutons ce que les autres ont à nous dire: nous recueillerons peut-être des secrets très utiles... et s'ils n'ont que de mauvaises paroles, nous saurons alors quoi faire pour les éviter !
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Mar 17 Avr 2012 - 7:08
Il était une fois une femme qui, après avoir traversé toute une vie de femme, habitée par différents amours, puis pas une relation essentielle avec un homme qui fut son mari, après avoir porté et élevé des enfants et exercé une profession passionnante, se retrouva au bord de l’existence, devant l’immense vide de sa solitude, celle de sa rencontre manquée avec elle-même.
Comment est-ce possible ? Comment se retrouver ainsi en solitude au mitan de sa vie, vide de projets, dévitalisée d’avoir trop donné, dépossédée de tous ses rêves car ils avaient été déposés en vain et à fonds perdus chez ceux qu’elle avait tant aimés ?
Comment continuer le chemin en se sentant habitée par une immense fatigue d’être, une profonde lassitude à simplement se réveiller le matin, à ouvrir les yeux, à respirer, se laver, s’habiller, affronter le regard aveugle de tant d’inconnus ? Comment avoir l’énergie d’esquisser des gestes qui n’ont plus de sens, de commencer quelques phrases avortées en imaginant tout de suite que demain est déjà périmé ?
Cela est plus fréquent qu’on ne peut l’imaginer dans le monde des femmes et des hommes d’aujourd’hui.
Au début elle manqua de vaciller devant la béance du désert de sa vie, la violence de la solitude, le vide de l’incompréhension qu’elle sentait tout autour d’elle. Souvent par la suite elle désespéra, quand des pensées malignes infectaient son corps, quand des douleurs tenaillaient son dos, déchiraient son ventre, harcelaient son cœur, quand son mal-être était si fort qu’elle imaginait ne pouvoir tenir debout, qu’elle aspirait à se coucher et mourir de lassitude et de désespoir de vivre.
Elle ne savait pas encore que sa vie n’attendait que ce moment pour se rappeler à elle. Une émotion, qui contenait tout un monde à elle seule, s’éveilla, remonta, chemina par des chemins secrets de sa sensibilité, jusqu’à sa conscience, vint éclore dans ses pensées pour devenir lueur, lumière, soleil avant de se transformer en énergie vivifiante.
Un matin, une petite phrase scintilla dans sa tête, dansa sous ses paupières, fredonna à ses oreilles : « Prends soin de ta vie, prends soin de ta vie, prends soin de ta vie… »
Mais d’autres voix, celles des vieux démons, des habitudes anciennes, vexées de se voir délogées par un courant de vie nouveau, tentèrent de prendre le dessus, de recouvrir la petite phrase par leur propre rengaine.
- Fais attention, en osant t’aventure sur le chemin de tes désirs, en voulant te découvrir toute seule, tu prends le risque de te perdre, de révéler des aspects de toi inacceptables.
-Tes désirs sont trompeurs.
- Tu crois avoir tout, tu n’as rien, tu n’es rien, tu n’as pas été capable de retenir ton mari, de garder tes enfants près de toi, de maintenir ton statut de femme aimée…
- Tu es en transformation, chantait la petite voix du début.
- Tu es affabulation, répétaient les voix d’une ancienne vie.
- Je peux m’aimer et me respecter.
- Pas du tout, tu as besoin d’être aimée, tu ne dois donner ton amour que si tu es aimée en retour !
- Je sens que je peux m’aimer et aimer sans avoir nécessairement un retour… pour le plaisir d’être.
- Non, ton cœur n’est pas suffisamment ouvert pour aimer, simplement aimer. Réfléchis bien, tu sais combien ton égo ne supporte pas de vivre le seul bien-être, le plaisir partagé. Il te faut ses sentiments, des serments, du solide, du durable à toute épreuve…
- Je ne suis ni dans le manque, ni dans le besoin, je suis dans le plein !
- Tu te montes la tête et bientôt tu regretteras, tu verras.
- Je suis musique, je recherche et je trouve mes accords.
- Tout est dérisoire, temps perdu, illusions trompeuses. Ne recommence pas à espérer ce que tu n’atteindras jamais.
- J’existe, j’existe enfin pour moi.
- Non, tu survis, tu végètes. Accepte ton sort sans révolte, sans rêve inutile, tu es sur la pente descendante de ta vie, reste tranquille ! Tout est joué, tu as perdu, tu mérites le repos.
- Je me rencontre… J’ai lâché le superflu.
- Tu vas manquer de l’essentiel : la sécurité !
Face à l’impuissance j’apprivoise des forces secrètes, face à l’urgence je fais confiance à mes états intérieurs, face au chaos j’écoute ma propre voix. Je suis sur ce chemin là.
Etonnée, elle n’entendit plus les autres voix, alors elle décida de s’écouter. A partir de ce jour-là, elle ne fut plus seule. Le dialogue qui l’accompagna l’ouvrit à de multiples rencontres.
http://www.sourcedoptimisme.com/article-le-conte-de-la-femme-en-marche-vers-sa-propre-vie-98441685.html
Comment est-ce possible ? Comment se retrouver ainsi en solitude au mitan de sa vie, vide de projets, dévitalisée d’avoir trop donné, dépossédée de tous ses rêves car ils avaient été déposés en vain et à fonds perdus chez ceux qu’elle avait tant aimés ?
Comment continuer le chemin en se sentant habitée par une immense fatigue d’être, une profonde lassitude à simplement se réveiller le matin, à ouvrir les yeux, à respirer, se laver, s’habiller, affronter le regard aveugle de tant d’inconnus ? Comment avoir l’énergie d’esquisser des gestes qui n’ont plus de sens, de commencer quelques phrases avortées en imaginant tout de suite que demain est déjà périmé ?
Cela est plus fréquent qu’on ne peut l’imaginer dans le monde des femmes et des hommes d’aujourd’hui.
Au début elle manqua de vaciller devant la béance du désert de sa vie, la violence de la solitude, le vide de l’incompréhension qu’elle sentait tout autour d’elle. Souvent par la suite elle désespéra, quand des pensées malignes infectaient son corps, quand des douleurs tenaillaient son dos, déchiraient son ventre, harcelaient son cœur, quand son mal-être était si fort qu’elle imaginait ne pouvoir tenir debout, qu’elle aspirait à se coucher et mourir de lassitude et de désespoir de vivre.
Elle ne savait pas encore que sa vie n’attendait que ce moment pour se rappeler à elle. Une émotion, qui contenait tout un monde à elle seule, s’éveilla, remonta, chemina par des chemins secrets de sa sensibilité, jusqu’à sa conscience, vint éclore dans ses pensées pour devenir lueur, lumière, soleil avant de se transformer en énergie vivifiante.
Un matin, une petite phrase scintilla dans sa tête, dansa sous ses paupières, fredonna à ses oreilles : « Prends soin de ta vie, prends soin de ta vie, prends soin de ta vie… »
Mais d’autres voix, celles des vieux démons, des habitudes anciennes, vexées de se voir délogées par un courant de vie nouveau, tentèrent de prendre le dessus, de recouvrir la petite phrase par leur propre rengaine.
- Fais attention, en osant t’aventure sur le chemin de tes désirs, en voulant te découvrir toute seule, tu prends le risque de te perdre, de révéler des aspects de toi inacceptables.
-Tes désirs sont trompeurs.
- Tu crois avoir tout, tu n’as rien, tu n’es rien, tu n’as pas été capable de retenir ton mari, de garder tes enfants près de toi, de maintenir ton statut de femme aimée…
- Tu es en transformation, chantait la petite voix du début.
- Tu es affabulation, répétaient les voix d’une ancienne vie.
- Je peux m’aimer et me respecter.
- Pas du tout, tu as besoin d’être aimée, tu ne dois donner ton amour que si tu es aimée en retour !
- Je sens que je peux m’aimer et aimer sans avoir nécessairement un retour… pour le plaisir d’être.
- Non, ton cœur n’est pas suffisamment ouvert pour aimer, simplement aimer. Réfléchis bien, tu sais combien ton égo ne supporte pas de vivre le seul bien-être, le plaisir partagé. Il te faut ses sentiments, des serments, du solide, du durable à toute épreuve…
- Je ne suis ni dans le manque, ni dans le besoin, je suis dans le plein !
- Tu te montes la tête et bientôt tu regretteras, tu verras.
- Je suis musique, je recherche et je trouve mes accords.
- Tout est dérisoire, temps perdu, illusions trompeuses. Ne recommence pas à espérer ce que tu n’atteindras jamais.
- J’existe, j’existe enfin pour moi.
- Non, tu survis, tu végètes. Accepte ton sort sans révolte, sans rêve inutile, tu es sur la pente descendante de ta vie, reste tranquille ! Tout est joué, tu as perdu, tu mérites le repos.
- Je me rencontre… J’ai lâché le superflu.
- Tu vas manquer de l’essentiel : la sécurité !
Face à l’impuissance j’apprivoise des forces secrètes, face à l’urgence je fais confiance à mes états intérieurs, face au chaos j’écoute ma propre voix. Je suis sur ce chemin là.
Etonnée, elle n’entendit plus les autres voix, alors elle décida de s’écouter. A partir de ce jour-là, elle ne fut plus seule. Le dialogue qui l’accompagna l’ouvrit à de multiples rencontres.
http://www.sourcedoptimisme.com/article-le-conte-de-la-femme-en-marche-vers-sa-propre-vie-98441685.html
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Mer 17 Oct 2012 - 8:31
[center]
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Dim 21 Oct 2012 - 8:52
17. La beauté et la laideur
Un jour, la laideur, attristée d’être laide, va se confier à la beauté.
– Comme tu as de la chance d’être belle. Je t’envie : on te regarde, on t’admire, on te contemple.
– Certes, lui dit la beauté, mais ce n’est pas cela qui me rend heureuse.
– C’est quoi alors, demande la laideur.
– C’est lorsqu’on me voit au-delà des apparences.
– Mais à quoi sert la beauté si elle n’est pas apparente ?
– À montrer ce qu’est la vraie laideur, répond la beauté.
– Est-ce à dire que la laideur peut cacher la beauté ?
– Bien sûr, et tu en es la preuve vivante.
8. L’avidité et le détachement
Depuis sa vaste demeure, l’avidité observe le monde avec convoitise, se demandant ce qu’elle pourrait bien posséder de plus. C’est alors que le détachement passe devant chez elle et lui dit :
– Quelle abondance de biens ! Que de choses en votre demeure ! Ne craignez-vous pas qu’on vous les dérobe ?
– Si, lui répond l’avidité, mais je veille jour et nuit à ce que personne ne pénètre chez moi.
– À quoi bon tous ces biens si vous n’en profitez pas et si vous craignez tant de les perdre ?
– À me dire qu’ils sont à moi et que d’autres aimeraient les posséder. Mais vous, qu’êtes-vous venu faire ici ?
– Je suis venu voir avec bonheur tout ce que je n’aimerais pas posséder.
http://www.amorc.fr/dotclear/index.php?post/2012/04/20/Histoire-de-sagesse-%282%29
Un jour, la laideur, attristée d’être laide, va se confier à la beauté.
– Comme tu as de la chance d’être belle. Je t’envie : on te regarde, on t’admire, on te contemple.
– Certes, lui dit la beauté, mais ce n’est pas cela qui me rend heureuse.
– C’est quoi alors, demande la laideur.
– C’est lorsqu’on me voit au-delà des apparences.
– Mais à quoi sert la beauté si elle n’est pas apparente ?
– À montrer ce qu’est la vraie laideur, répond la beauté.
– Est-ce à dire que la laideur peut cacher la beauté ?
– Bien sûr, et tu en es la preuve vivante.
8. L’avidité et le détachement
Depuis sa vaste demeure, l’avidité observe le monde avec convoitise, se demandant ce qu’elle pourrait bien posséder de plus. C’est alors que le détachement passe devant chez elle et lui dit :
– Quelle abondance de biens ! Que de choses en votre demeure ! Ne craignez-vous pas qu’on vous les dérobe ?
– Si, lui répond l’avidité, mais je veille jour et nuit à ce que personne ne pénètre chez moi.
– À quoi bon tous ces biens si vous n’en profitez pas et si vous craignez tant de les perdre ?
– À me dire qu’ils sont à moi et que d’autres aimeraient les posséder. Mais vous, qu’êtes-vous venu faire ici ?
– Je suis venu voir avec bonheur tout ce que je n’aimerais pas posséder.
http://www.amorc.fr/dotclear/index.php?post/2012/04/20/Histoire-de-sagesse-%282%29
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Dim 28 Oct 2012 - 9:12
« J’ai lu quelque part : « Dieu existe, je l’ai rencontré ! » ça alors ! ça m’étonne !
Que Dieu existe, la question ne se pose pas ! Mais que quelqu’un l’ait rencontré avant moi, voilà qui me surprend !
Parce que j’ai eu le privilège de
rencontrer Dieu juste à un moment où je doutais de lui !
Dans un petit village de Lozère abandonné des hommes, il n’y avait plus personne. Et en passant devant la vieille église, poussé par je ne sais quel instinct, je suis rentré…
Et, là, ébloui…par une lumière intense…insoutenable !
C’était Dieu…Dieu en personne, Dieu qui priait !
Je me suis dit : « qui prie-t-il ? Il ne se prie pas lui-même ? Pas lui ? Pas Dieu ? »
Non ! Il priait l’Homme ! Il me priait moi ! Il doutait de moi comme j’avais douté de lui !
Il disait : Ô Homme ! si tu existes, un signe de toi !
J’ai dit : Mon Dieu, je suis là !
Il dit : Miracle ! Une humaine apparition !
Je lui ai dit : Mais mon Dieu…comment pouvez-vous douter de l’existence de l’Homme, puisque c’est vous qui l’avez créé ?
Il m’a dit : Oui…mais il y a si longtemps que je n’en ai pas vu dans mon église…que je me demandais si ce n’était pas une vue de l’esprit !
Je lui ai dit : Vous voilà rassuré, Mon Dieu !
Il m’a dit : Oui ! Je vais pouvoir leur dire là-haut : « L’Homme existe, je l’ai rencontré ! »
Raymond Devos
Que Dieu existe, la question ne se pose pas ! Mais que quelqu’un l’ait rencontré avant moi, voilà qui me surprend !
Parce que j’ai eu le privilège de
rencontrer Dieu juste à un moment où je doutais de lui !
Dans un petit village de Lozère abandonné des hommes, il n’y avait plus personne. Et en passant devant la vieille église, poussé par je ne sais quel instinct, je suis rentré…
Et, là, ébloui…par une lumière intense…insoutenable !
C’était Dieu…Dieu en personne, Dieu qui priait !
Je me suis dit : « qui prie-t-il ? Il ne se prie pas lui-même ? Pas lui ? Pas Dieu ? »
Non ! Il priait l’Homme ! Il me priait moi ! Il doutait de moi comme j’avais douté de lui !
Il disait : Ô Homme ! si tu existes, un signe de toi !
J’ai dit : Mon Dieu, je suis là !
Il dit : Miracle ! Une humaine apparition !
Je lui ai dit : Mais mon Dieu…comment pouvez-vous douter de l’existence de l’Homme, puisque c’est vous qui l’avez créé ?
Il m’a dit : Oui…mais il y a si longtemps que je n’en ai pas vu dans mon église…que je me demandais si ce n’était pas une vue de l’esprit !
Je lui ai dit : Vous voilà rassuré, Mon Dieu !
Il m’a dit : Oui ! Je vais pouvoir leur dire là-haut : « L’Homme existe, je l’ai rencontré ! »
Raymond Devos
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Mer 12 Déc 2012 - 7:50
«
Jolie réplique !!!
La Petite Fille
Une petite fille allait à pied à l’école.
Bien que ce matin là, la température posait des questions et des nuages se formaient, elle partit à pied malgré tout !
Durant l’après-midi, les vents s’élevèrent , les éclairs apparurent, l’orage éclata.
La Maman de la petite craignait que sa fillette ne prenne peur en revenant à la maison à cause des éclairs. Inquiète, la Maman s’empressa de prendre la route, en voiture, vers l’école.
En route, elle vit apparaître sa petite, qui, à chaque éclair, s’arrêtait, regardait en haut et souriait.
Quelques éclairs se succédèrent rapidement et, chaque fois, l’enfant regardait vers l’éclair et souriait. Sa mère parvint à ses côtés, baissa sa vitre de la voiture et lui demanda : Mais, que fais-tu ?
L’enfant de répondre
J’essaie d’être belle, car le Bon Dieu n’arrête pas de me prendre en photo !
»
La Petite Fille
Une petite fille allait à pied à l’école.
Bien que ce matin là, la température posait des questions et des nuages se formaient, elle partit à pied malgré tout !
Durant l’après-midi, les vents s’élevèrent , les éclairs apparurent, l’orage éclata.
La Maman de la petite craignait que sa fillette ne prenne peur en revenant à la maison à cause des éclairs. Inquiète, la Maman s’empressa de prendre la route, en voiture, vers l’école.
En route, elle vit apparaître sa petite, qui, à chaque éclair, s’arrêtait, regardait en haut et souriait.
Quelques éclairs se succédèrent rapidement et, chaque fois, l’enfant regardait vers l’éclair et souriait. Sa mère parvint à ses côtés, baissa sa vitre de la voiture et lui demanda : Mais, que fais-tu ?
L’enfant de répondre
J’essaie d’être belle, car le Bon Dieu n’arrête pas de me prendre en photo !
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- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Sam 6 Avr 2013 - 6:21
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Mer 10 Avr 2013 - 7:11
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Jeu 11 Avr 2013 - 10:27
Le thé contre l'épée
Zen-th-peUn domestique, dans l'antique Chine, laissa accidentellement tomber une goutte de thé sur le soldat qu'il servait. Confus, il s'excusa, mais le soldat était vexé : "Demain, chien, tu viendras te mesurer à moi. je te donnerai une arme et l'on verra bien si tu es aussi doué avec l'épée qu'avec le thé !"
Le domestique n'avait bien sûr aucune expérience du combat. Il alla donc demander conseil à un ami, le maître Ketaïo. Ce dernier l'observait alors qu'il servait le thé.
Il remarqua le front du domestique, parfaitement lisse, et l'intense concentration qui se dégageait de tous les traits de son visage alors qu'il faisait couler un mince filet de thé dans les bols, sans qu'aucune goutte ne tombe à côté.
"Demain, lui dit Ketaïo, tu devras tenir ton sabre au dessus de ta tête, comme si tu étais prêt à frapper le soldat. Regardes-le bien en face, avec cette détermination et ce calme que tu atteins lorsque tu me sers le thé."
Le lendemain, au petit matin, le domestique suivit les conseils du maître. Le soldat était prêt à combattre mais il se tint sur ses gardes : il observait le domestique, stable sur ses appuis, serein. Il vissa son regard dans le sien et, après un long moment, le soldat abaissa son arme, s'excusa pour son arrogance et quitta les lieux sans se retourner.
Apprenez donc que le centrage, la détermination, le calme intérieur que vous avez pu apprendre par la méditation ou la PNL...etc, peuvent permettre d'affronter des tempêtes non prévues et parfois compenser un manque de techniques.
Zen-th-peUn domestique, dans l'antique Chine, laissa accidentellement tomber une goutte de thé sur le soldat qu'il servait. Confus, il s'excusa, mais le soldat était vexé : "Demain, chien, tu viendras te mesurer à moi. je te donnerai une arme et l'on verra bien si tu es aussi doué avec l'épée qu'avec le thé !"
Le domestique n'avait bien sûr aucune expérience du combat. Il alla donc demander conseil à un ami, le maître Ketaïo. Ce dernier l'observait alors qu'il servait le thé.
Il remarqua le front du domestique, parfaitement lisse, et l'intense concentration qui se dégageait de tous les traits de son visage alors qu'il faisait couler un mince filet de thé dans les bols, sans qu'aucune goutte ne tombe à côté.
"Demain, lui dit Ketaïo, tu devras tenir ton sabre au dessus de ta tête, comme si tu étais prêt à frapper le soldat. Regardes-le bien en face, avec cette détermination et ce calme que tu atteins lorsque tu me sers le thé."
Le lendemain, au petit matin, le domestique suivit les conseils du maître. Le soldat était prêt à combattre mais il se tint sur ses gardes : il observait le domestique, stable sur ses appuis, serein. Il vissa son regard dans le sien et, après un long moment, le soldat abaissa son arme, s'excusa pour son arrogance et quitta les lieux sans se retourner.
Apprenez donc que le centrage, la détermination, le calme intérieur que vous avez pu apprendre par la méditation ou la PNL...etc, peuvent permettre d'affronter des tempêtes non prévues et parfois compenser un manque de techniques.
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Re: Conte de sagesse
Dim 21 Avr 2013 - 11:57
JO ..ce wk nous avons le spectacle du cirque de Sion mon petit- fils en fait partie c'était grandiose j'ai été hier soir le voir et il rejoue cet après-midi ..bon dimanche à toi aussi j'espère que ton spectacle a bien marché ..
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Dim 21 Avr 2013 - 11:59
oups j'ai oublié mettre le lien pour l'article ci-dessus
http://www.lenouvelliste.ch/fr/valais/sion/des-vacances-sur-la-piste-aux-etoiles-497-1144849
http://www.lenouvelliste.ch/fr/valais/sion/des-vacances-sur-la-piste-aux-etoiles-497-1144849
- OphéliaMEMBRE SOLEIL DEUX DIAMANTS
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Re: Conte de sagesse
Jeu 25 Avr 2013 - 6:40
«Pour pouvoir ramasser les diamants, il faut tout d’abord laisser tomber les cailloux que l’on porte dans nos mains.»
– Osho Rajneesh
J’aime beaucoup l’histoire du singe et de la noix. Une si jolie parabole...
Imaginez un singe qui glisse sa main dans un trou de quelques centimètres pour aller récupérer une belle petite noix déposée dans un arbre. Il salive déjà à l’idée de s’en régaler; on ne lui donne que des bananes depuis quelque temps, et le pauvre en a assez! Petit pépin lorsqu’il tente de retirer sa main, par contre… Elle est plus arrondie maintenant qu’il a agrippé la noix, donc elle ne passe plus à travers le petit trou par lequel elle était entrée. Le singe est pris, la main dans l’arbre. S’il reste accroché à la noix, il restera prisonnier… et affamé. Il doit la laisser aller pour pouvoir se libérer.
(C’est la technique qu’utilisaient certaines tribus pour attraper des singes, apparemment…)
La morale de l’histoire est, bien sûr, de lâcher prise – littéralement! Car parfois, la magie n’est effectivement pas dans ce que l’on crée, mais dans ce qu’on accepte de laisser aller. On a le sentiment de sacrifier une chose précieuse en renonçant à la noix et en retirant notre main, mais on retrouve ainsi quelque chose d’encore plus important : notre liberté. Car c’est la noix ou notre liberté. Et on perd davantage en craignant de perdre qu’en acceptant de se détacher.
image étoile
Quelles «noix» est-il temps pour vous de déposer, ......? Peut-être est-ce le temps de cesser de vous agripper à la perfection, au contrôle, à votre réputation, à votre ressentiment, à vos regrets ou à l’opinion qu’une certaine personne se fait de vous, par exemple? C’est souvent lorsqu’on a le courage de laisser aller ce qui nous semble le plus indispensable que les choses débloquent et commencent à couler avec grande fluidité. Car lorsqu’on retrouve notre liberté, il n’y a pas de limites à la quantité de noix que l’on peut cueillir et déguster… ;-)
C’est avec un grand sourire sur le visage que je vous souhaite une superbe journée… Je serai en déplacement demain, donc on se retrouve lundi en pleine forme!
Marie-Pier
http://matinmagique.com/ai25.html?inf_contact_key=9d94f600fa101527da0b3e9b2670c95a8920ed53652f0c8d6eb72ee42a88461d
– Osho Rajneesh
J’aime beaucoup l’histoire du singe et de la noix. Une si jolie parabole...
Imaginez un singe qui glisse sa main dans un trou de quelques centimètres pour aller récupérer une belle petite noix déposée dans un arbre. Il salive déjà à l’idée de s’en régaler; on ne lui donne que des bananes depuis quelque temps, et le pauvre en a assez! Petit pépin lorsqu’il tente de retirer sa main, par contre… Elle est plus arrondie maintenant qu’il a agrippé la noix, donc elle ne passe plus à travers le petit trou par lequel elle était entrée. Le singe est pris, la main dans l’arbre. S’il reste accroché à la noix, il restera prisonnier… et affamé. Il doit la laisser aller pour pouvoir se libérer.
(C’est la technique qu’utilisaient certaines tribus pour attraper des singes, apparemment…)
La morale de l’histoire est, bien sûr, de lâcher prise – littéralement! Car parfois, la magie n’est effectivement pas dans ce que l’on crée, mais dans ce qu’on accepte de laisser aller. On a le sentiment de sacrifier une chose précieuse en renonçant à la noix et en retirant notre main, mais on retrouve ainsi quelque chose d’encore plus important : notre liberté. Car c’est la noix ou notre liberté. Et on perd davantage en craignant de perdre qu’en acceptant de se détacher.
image étoile
Quelles «noix» est-il temps pour vous de déposer, ......? Peut-être est-ce le temps de cesser de vous agripper à la perfection, au contrôle, à votre réputation, à votre ressentiment, à vos regrets ou à l’opinion qu’une certaine personne se fait de vous, par exemple? C’est souvent lorsqu’on a le courage de laisser aller ce qui nous semble le plus indispensable que les choses débloquent et commencent à couler avec grande fluidité. Car lorsqu’on retrouve notre liberté, il n’y a pas de limites à la quantité de noix que l’on peut cueillir et déguster… ;-)
C’est avec un grand sourire sur le visage que je vous souhaite une superbe journée… Je serai en déplacement demain, donc on se retrouve lundi en pleine forme!
Marie-Pier
http://matinmagique.com/ai25.html?inf_contact_key=9d94f600fa101527da0b3e9b2670c95a8920ed53652f0c8d6eb72ee42a88461d
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